Le web est la plus longue avenue du monde. Pour que votre site soit visible sur votre marché cible à l'étranger, il faut le localiser. Localiser un site web consiste à adapter son contenu, ses textes et parfois même son design à la langue et à la culture des lecteurs du pays cible. Je localise votre site web du néerlandais ou de l'anglais vers le français. Mes traductions contiendront les mots clés qui permettront aux personnes intéressées de vous trouver. Vous aurez ainsi plus de chances de toucher votre cible à l'étranger.
Cecile van Tiel
Traducteur Néerlandais Français
Anglais & UX Designer
Limoges, France
75 % des consommateurs préfèrent acheter des produits sur des sites web dans leur langue maternelle
72 % des consommateurs passent la plupart ou la totalité de leur temps sur des sites web dans leur propre langue
56 % des consommateurs attachent plus d’importance à l’obtention d’informations dans leur propre langue qu’au prix
60 % des consommateurs ne font que rarement ou jamais d’achats sur des sites web exclusivement anglophones
Source : Gala, 2015
QUITE SIMPLY, THE WORLD'S BEST UMBRELLA
The revolution in umbrella design that creates an aerodynamic robust canopy structure, making BLUNT™ umbrellas the ultimate defense against the elements.
TOUT SIMPLEMENT, LE MEILLEUR PARAPLUIE AU MONDE
La révolution dans la conception des parapluies qui crée une structure de canopée aérodynamique et robuste, faisant des parapluies BLUNT™ la défense ultime contre les éléments.
TOUT SIMPLEMENT LE MEILLEUR PARAPLUIE DU MONDE
Une révolution dans le design du parapluie a engendré un parapluie à la toile solide et aérodynamique : le parapluie BLUNT™, la meilleure défense contre les intempéries.
TRADUCTION CRÉATIVE OU TRANSCRÉATION
La technologie a ses limites. Pour les textes à caractère publicitaire, la traduction automatique ou « littérale » n'est pas appropriée. Afin que de tels messages trouvent une résonance auprès du public ciblé à l'étranger, une dose de créativité s'impose. Les traductions de qualité font la différence.
RESIST THE THROW-AWAY CULTURE
The team at Blunt abhor the idea that umbrellas are at the forefront of the throwaway culture.
Our quest is to change the consumers acceptance of built-in obsolescence and shoddy workmanship one BLUNT™ umbrella at a time.
RÉSISTEZ À LA CULTURE DU JETABLE
L'équipe de Blunt déteste l'idée que les parapluies soient à la pointe de la culture du jetable.
Notre quête est de changer l'acceptation par les consommateurs de l'obsolescence intégrée et de la mauvaise qualité de fabrication un parapluie BLUNT™ à la fois.
HALTE AU GASPILLAGE !
Chez BLUNT™, nous ne supportons pas l’idée que les parapluies soient de purs produits jetables.
Notre objectif est de changer les comportements d’achat à coups de BLUNT™, de façon à combattre l’obsolescence programmée et une fabrication de piètre qualité.
TRADUCTION ASSISTÉE PAR ORDINATEUR
Les outils de traduction en ligne, tout comme les logiciels professionnels de TAO, sont extrêmement rapides mais ne fournissent qu'un premier « jet ». Afin de rendre les textes fluides et intelligibles, les traducteurs professionnels les retravaillent en profondeur.
THE TOUGH LITTLE BLUNT UMBRELLA WITH FUN CHANGING INK FOR KIDS
The compact Blunt Umbrellas with fun colour changing ink for kids on the go.
The new Blunt + Kids with colour changing ink. Watch what happens to the picture when it rains! Have fun in the rain.
LE PETIT PARAPLUIE BLUNT RÉSISTANT AVEC UNE ENCRE AMUSANTE À CHANGEMENT D'ENCRE POUR LES ENFANTS
Les parapluies compacts Blunt avec une encre amusante à changement de couleur pour les enfants en déplacement.
Le nouveau Blunt + Kids avec une encre à changement de couleur. Regardez ce qui arrive à l'image quand il pleut ! Amusez-vous sous la pluie.
POUR LES ENFANTS : LE PETIT BLUNT™ ROBUSTE DONT L’IMPRIMÉ CHANGE DE COULEUR SOUS LA PLUIE !
Le parapluie BLUNT™ compact dont l’imprimé change de couleur sous la pluie. Pour amuser les enfants qui ont la bougeotte.
Le nouveau BLUNT™ + Kids. Regardez-le changer de couleur et amusez-vous bien !
CONTRESENS ET SOLÉCISMES
Contrairement aux outils disponibles gratuitement en ligne, les traducteurs professionnels saisissent les nuances dans la langue source et savent les restituer dans la langue cible. Ils éliminent ainsi d'éventuelles erreurs dont les conséquences sont parfois désastreuses.
28 janvier 2016 | Cecile van Tiel
Vous ne le saviez probablement pas, mais... Traductrice et Localisatrice sont deux poupées russes, la traduction/localisation ressemble parfois à un casse-tête chinois et la formation a un tout petit quelque chose d'une auberge espagnole. Si, si, je vous assure...
Dans un contexte d'échanges mondialisés, les entreprises ont développé des processus permettant d'adapter au mieux un produit ou un service à sa vente sur les marchés étrangers. Ces processus se résument en un acronyme : GILT, i.e. Globalisation, Internationalisation, Localisation, Traduction. Il s'agit d'un système de poupées russes, présentées ici dans l'ordre décroissant. La globalisation, c'est la stratégie de développement à l'international alors que l'internationalisation consiste à préparer le terrain de façon à pouvoir traduire et localiser dans les meilleures conditions. Les deux derniers processus sont réalisés par les salariés des agences de traduction/localisation, ainsi que par des traducteurs indépendants qui travaillent d'ailleurs bien souvent pour les agences précitées.
Des traducteurs, il en existe avec toutes sortes de spécialités : littéraires, techniques (spécialisés dans un domaine bien précis : juridique, financier ou scientifique entre autres...), sans parler des réviseurs et relecteurs... Cependant, tous se doivent d'être localisateurs dans une plus ou moins grande mesure.
La localisation va au-delà de la traduction. Au sens large du terme, la localisation consiste en l'adaptation d'un produit, d'un service, d'un contenu numérique, aux spécificités linguistiques, culturelles et techniques d’une région. Rien de tel que quelques anecdotes pour prendre conscience de l'importance de cette adaptation : si le lancement par Chevrolet de la Chevy Nova en Amérique Latine s'est soldé par un flop commercial, c'est parce que, en espagnol, nova signifie "ne va pas", un nom de mauvais augure pour une voiture ! Et si la carterie américaine Hallmark a fait un flop sur le marché français, c'est pour cause de traduction sans localisation : le style sirupeux américain des messages pré-imprimés n'a pas séduit en France. Parfois les conséquences sont beaucoup plus dramatiques. Les erreurs de conversion métrique dans le domaine du transport aérien en sont de tristes exemples.
Les compétences linguistiques et la connaissance de la culture de la région cible sont indispensables, mais pas suffisantes. Que vous souhaitiez travailler en tant que traducteur salarié ou freelance, vous devrez maîtriser les outils de traduction assistée par ordinateur (TAO) pour vous conformer aux standards demandés par les agences de traduction/localisation. Ces outils sont essentiellement les mémoires de traduction (comme SDL Trados Studio 2015 par exemple), qui constituent une aide à la traduction de tous types de fichiers numériques ; il y a aussi la traduction automatique (Google Traduction est probablement le plus connu dans cette catégorie), les bases de données terminologiques et les dictionnaires numériques. Tous ces outils peuvent être utilisés en combinaison les uns avec les autres. Cette informatisation croissante de la profession, qui a pour but d'augmenter la rapidité et la qualité des prestations, exige de la part du traducteur des compétences techniques, la traduction "manuelle" n'étant plus compétitive. Plus un traducteur maîtrisera les technologies de l'information, meilleurs seront ses résultats, dans tous les sens du terme.
Le métier de traducteur localisateur (on dit aussi localiseur) est éminemment axé sur l'informatique. En effet, dans un sens plus étroit, le terme localisation désigne l'adaptation de sites internet, de logiciels ou de jeux vidéo aux marchés étrangers. Elle concerne alors la traduction, c'est-à-dire la transposition de chaînes de texte d'une langue source dans une langue cible, ainsi que l'adaptation des techniques de persuasion, des images, des couleurs et bien souvent aussi une réorganisation des contenus. Les contraintes que comporte la transposition d'un contenu numérique, dans une autre langue sont nombreuses (cette courte vidéo en est une bonne illustration). Cela peut aller d'une simple adaptation d'un format de date à des standards locaux, au casse-tête chinois, lorsqu'il s'agit de transposer des contenus dans des langues dites à double octet, comme le japonais par exemple.
Pour devenir traducteur localisateur, une immersion dans un monde plus ou moins bien connu des linguistes s'impose : celui de l'informatique et du multimédia. Le Master CAWEB à Strasbourg, avec sa formation à distance, permet aux traducteurs de se former dans ces domaines. L'allusion au film "L'auberge espagnole" est certes légère au regard de l'intensité du programme et de la quantité de travail à fournir, cependant, elle rend bien compte des origines diverses des étudiants et de l'ambiance soudée créée par chaque promotion. Les études peuvent même être suivies en ligne depuis l'étranger et en combinaison avec un apprentissage ou une activité professionnelle. Et il n'y a pas d'âge pour se former aux technologies de l'information. La preuve : si tout se passe bien, je serai en septembre prochain la première grand-mère à obtenir le Master CAWEB !